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Les ingénieurs sont capables d’interpréter des bases de »å´Ç²Ô²Ôé±ð²õ complexes, de ³¾´Ç»åé±ô¾±²õ±ð°ù des systèmes interconnectés pour capturer les comportements à large échelle, et d’inventer de nouvelles technologies pour améliorer leur environnement. Ces dernières décennies, le génie biomédical a progressivement émergé comme domaine dans lequel ces compétences de l’ingénieur jouent un rôle prépondérant. Les ingénieurs en génie biomédical déploient leurs compétences analytiques, de modélisation et d’inventivité pour des projets au service de la santé. Ils sont capables de développer des outils pour interpréter de larges bases de »å´Ç²Ô²Ôé±ð²õ d’imagerie médicale. Ils peuvent aussi développer des ³¾´Ç»åè±ô±ð²õ qui capturent les comportements humains complexes et qui simulent les pathologies. Ils peuvent de plus concevoir des technologies avancées pour mieux traiter les cancers et pour fournir une rééducation neuronale assistée par les robots. En résumé, ils contribuent à fournir un meilleur diagnostic et de meilleurs moyens de traitement améliorant ainsi la qualité de vie d’un grand nombre de patients. La série de vidéos ci-dessous dresse le portrait de diplômé.e.s de l’UCLouvain en génie biomédical. Ces ingénieurs talentueux nous présentent leur métier, au carrefour des sciences de l’ingénieur et des sciences du vivant.

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´¡³Ü°ùé±ô¾±±ð travaille dans une start-up où elle collabore au développement de neurostimulateurs, pour traiter différentes pathologies telles que l’épilepsie.

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Christine travaille également dans une start-up, où elle développe des outils pour faciliter les actes chirurgicaux, entre autres à l’aide de l’impression 3D. Elle nous raconte comment les implants imprimés sur mesure dans sa société se retrouvent dans la salle d’opération…

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³Ò²¹Ã«³Ù²¹²Ô et Lauriane travaillent quant à eux dans une entreprise qui développe une technologie révolutionnaire pour soigner le cancer, en bombardant les tumeurs tout en veillant à épargner au maximum les tissus sains qui les entourent.

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Alice – quant à elle – a traversé la terre pour faire un doctorat en Australie. Son projet de doctorat vise à développer une nouvelle prothèse cardiaque avec des matériaux innovants.

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Il y a aussi des ingénieurs en biomédical qui travaillent directement dans les ³óô±è¾±³Ù²¹³Ü³æ. Leila en fait partie. Elle nous raconte son travail d’experte en technologie médicale dans un hôpital de Montréal.

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Enfin, toutes ces technologies ne peuvent bénéficier au patient que si elles ont été ±¹²¹±ô¾±»åé±ð²õ au-travers d’une procédure élaborée. ¸éé³¾¾± témoigne de son action dans ce processus, et comment celui-ci a un impact direct sur la vie des patients avec lesquels il interagit.

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