Сư洫ý

Activités GRIAL

2023 - 2024

Jeudi 21 septembre
“Chili : à 50 ans du coup d’Etat”
À 50 ans du coup d’État qui a renversé le gouvernement de l’Unité populaire le 11 septembre 1973, panel de discussion sur « la portée des années Allende » et « le potentiel des années Boric ».
Organisateurs : CETRI et GRIAL

Jeudi 28 septembre
AG du GRIAL + Table-ronde sur la pensée et les perspectives décoloniales en Amérique latine, avec les interventions de Geneviève Fabry, Luis Martínez Andrade et Geoffrey Pleyers et Carolina Sappia

Mardi 10 octobre, 20h aux Écuries de la ferme du Biéreau
Elizabeth Morris, autrice, compositrice et instrumentiste chilienne « El puente imaginario »
Concert didactique autour de la question de l’exil chilien pendant la dictature chilienne

Cours : LESPA ILV et LHIST2560 – Organisation : Osvaldo Serrey, Marcela Lobo et Caroline Sappia

Jeudi 12 octobre, à 20h Studio 13
Projection du documentaire « Villa Olímpica: Recuerdos de un mundo fuera de lugar » de Sebastian Kohan  (Argentine, Chili, Mexique, 2022)
“Les années 70. Une Amérique latine miniature au cœur du Mexique. 30 immeubles. 904 appartements. 3000 exilés. Des enfants d'exilés racontent leur histoire et celle de la communauté qui a fait de l’ancien village olympique des jeux de Mexico en 1968 – la Villa Olímpica – son lieu de vie.
Un jour, la fin des dictatures dans le sud. Le retour des parents entraîne l'exil des enfants. Tout laisser derrière soi et tout recommencer.”
Projection du documentaire en espagnol sous-titré en français, suivie d'un débat avec Rodrigo Litorriaga, réalisateur, ancien étudiant de l'UCLouvain et fils d'exilé chilien en Belgique
Dans le cadre du cours LHIST2560 + LESPA ILV – Organisation : Osvaldo Serrey, Marcela Lobo et Caroline Sappia

Lundi 16 octobre, de 13h à 16h, ULiège

Exposé de Frédéric Thomas (CETRI) dans le cadre du cours « Amérique latine : reconfigurations politiques, économiques et sociales ».
Riche en ressources naturelles, le continent latino-américain a traditionnellement basé son développement sur l’exportation de matières premières. Au début du 21e siècle, dans un contexte régional et mondial, politique et économique, particulier, cette stratégie est renouvelée. Entre sortie de la pauvreté et piège de la dépendance, déploiement des politiques publiques et dégradation de l’environnement, promotion du développement et intensification des conflits sociaux, le bilan de cette stratégie continue à faire débat, et éclaire des enjeux toujours actuels qui dépassent l’Amérique latine.
Infos :

Mercredi 18 octobre, de 9h à 22h30, Ferme du Biéreau
50 ans d’interculturalité du Centre Placet, dans le cadre des États généraux pour l’inclusion et la diversité
Tables rondes et ateliers sur diverses thématiques, dont : “Langage et racisme”, “Des approches méthodologiques pour cerner les enjeux de pouvoir : subalternités et critiques postcoloniales”, “Les savoirs du Sud, des recherches à visibiliser”, “Les étudiant·es et chercheur·euses internationaux·ales, entre espoirs et discriminations”.
Infos :

Lundi 13 novembre, de 13h à 16h, ULiège

Exposé de Laurent Delcourt (CETRI) dans le cadre du cours « Amérique latine : reconfigurations politiques, économiques et sociales »
Une grande partie des problèmes sociaux auxquels sont confrontées les sociétés latino-américaines trouvent leur origine dans leur passé agraire, marqué par l’appropriation privative de l’espace, la prépondérance des grands domaines et la marginalisation de la paysannerie. Héritée de la période coloniale, la structure foncière a profondément modelé les rapports sociaux et conditionné les dynamiques politiques sur le continent. Face aux processus de concentration des terres, le monde rural va toutefois se mobiliser. L’accès à la terre deviendra le principal leitmotiv des mouvements sociaux – et révolutionnaires – latino-américains du 20e siècle. Et des réformes agraires vont être initiées à l’initiative de gouvernements progressistes et de régimes plébiscitaires. Mais ces réformes vont aussi se heurter à la résistance des élites et à une dynamique de contre-réformes. Celles-ci accompagneront le mouvement de « modernisation conservatrice » de l’agriculture amorcé à partir des années 1970.
Infos :

21 & 22 novembre, module de cours
“La littérature des peuples indigènes en Amérique latine: une perspective éco-critique” par la prof. Carmen Alemany (Universidad de Alicante, España).
21 nov. 8h30 (SOCR 23) et 22 nov. 10h45 (SOCR26) Org. : Geneviève Fabry

Lundi 27 novembre, de 13h à 16h, ULiège

Exposé de Bernard Duterme (CETRI) dans le cadre du cours « Amérique latine : reconfigurations politiques, économiques et sociales ».
Toujours rebelle, l’Amérique latine ? Les quinze premières années de ce siècle ont été marquées par une vague progressiste à la tête des États du sous-continent. Et par de nouvelles politiques sociales. Suivies d’alternances – de droite puis de gauche – populistes ou plus classiques, dans un contexte de fortes crises économiques et politiques. Les grandes reconfigurations de la période n’ont pas éteint ni unifié les luttes sociales : appels à la redistribution d’un côté, au respect de l’environnement et des territoires de l’autre. L’enjeu s’impose comme le principal facteur de division des contestations latino-américaines, en dépit des processus de contention, de cooptation, de répression ou de dilution qui les minent.
Infos :

Novembre-Décembre 2023 (date à confirmer), Centre Placet
Inauguration du Centre de documentation du Centre Placet (bienvenue aux ouvrages, articles, partenaires de la région AL) / Labo Suds en cours de construction (plus d’infos suivront)
Personne de contact au Centre Placet : Xavier Briké (xavier.brike@uclouvain.be)

Lundi 11 décembre, de 13h à 16h, ULiège

Exposé de Bernard Duterme (CETRI) dans le cadre du cours « Amérique latine : reconfigurations politiques, économiques et sociales ».
La question indigène reste centrale en Amérique latine. D’abord parce que les « peuples premiers » sont constitutifs de l’identité plurielle de la région et continuent à représenter dans plusieurs pays – Guatemala, Bolivie, Pérou… – d’importantes « majorités minorisées » et dans d’autres – Mexique, Chili… – de fortes « minorités actives ». Ensuite, parce que c’est de ces populations qu’ont surgi ces dernières décennies, à la faveur de la libéralisation politique et économique du continent, des rébellions porteuses d’un nouveau rapport « décolonial » à la modernité et demandeuses d’une réconciliation des principes d’égalité et de diversité au sein des États nationaux et de l’économie mondialisée.
Infos :

12 & 13 décembre, UCLouvain (salle à définir)
“Vulnérabilités et résiliences des populations paysannes et indigènes en Afrique des Grands-Lacs et au Pérou pendant la pandémie de Covid-19”
Organisation : DVLP
Inscription : envoi d’un message à Marina Kyndt (marina.kyndt@uclouvain.be) avant le 05/12

Prochaine AG et table-ronde du GRIAL : 15 février 2024 à partir de 12h45